Comment passer le CAP des 2 ans pour le dirigeant et son entreprise ?

Selon l’INSEE, 6 entreprises sur 10 créées seulement sont toujours existantes après 5 ans.

Qu’est-ce qui peut expliquer cela ?

D’après mon expérience, cela s’applique aussi dans une moindre mesure aux repreneurs lors de leur première expérience de reprise moins identifiable parce qu’ils ont pour certains la possibilité de revendre l’entreprise avant qu’il ne soit trop tard.

Mes observations sont que nos institutions (BPI, club créateurs, Incubateurs…) accompagnent très bien la période en amont de la création/reprise et de transition les deux premières années par du conseil et un accompagnement gratuit ou subventionné et dans les montages financiers, mais au-delà ces entreprises disparaissent de leurs prérogatives.

L’effet de bord que je constate est que le(a) dirigeant(e) se trouve porté(e), dynamisé(e) pendant cette phase et ensuite il (elle) tombe dans le quotidien des dirigeants des TPE/PME avec pour effet d’être isolé (seul) dans la prise de décisions comme 45 % des dirigeants de TPE/PME et pour 75 % ils considèrent être mal accompagnés (Sources : BPI).

Souvent perdu, en mal de trouver leur second souffle et un financement de leurs besoins en fonds de roulement mal appréhendé, ils se retrouvent en difficulté.

Qu’ils se rassurent, c’est normal, tous les dirigeants rencontrent des hauts et des bas dans leur vie d’entrepreneur et ceux qui s’en sortent le mieux sont ceux qui savent mobiliser des ressources pour passer les difficultés.

“L’art de la réussite consiste à savoir s’entourer des meilleurs.” John Fitzgerald Kennedy

Ce n’est pas dû au hasard si l’on ne retrouve pas les mêmes statistiques pour les PDG de groupe. Ils sont rompus à l’exercice de la prise de décision en comité de direction, stratégique ou de pilotage en faisant appel à des ressources internes et cela est très naturel pour eux au point d’aller s’entourer de consultants externes pour des compétences précises.

Bien évidement, les PME disposent rarement de ce type d’organisation pour mener leurs réflexions et elles peinent à demander de l’aide à des consultants externes. Ce qui, de mon point de vue, est antinomique parce que ce sont eux qui devraient avoir recours le plus souvent à ces compétences. Il s’agit de prestations donc pas de risque avec un contrat CDI qui ne correspondrait pas au caractère ponctuel du besoin.

La solution du consultant

C’est un investissement adapté aux besoins et ressources de l’entreprise.

Ce qui différencie un conseiller d’un consultant, souvent confondu, c’est que le consultant propose une solution pour déployer le conseil par un accompagnement jusqu’à la réussite du projet ou plan d’action. Il répond à la fois au pourquoi, comment, avec qui et quand.

“La différence entre un rêve et un projet, c’est une date” Walt Disney

Et plus encore, s’il se rend compte que son conseil n’est pas pertinent parce que non opérationnel, il va mobiliser sa capacité à résoudre les problématiques pour vous apporter une nouvelle solution plus adaptée et lui aussi, rompu à l’exercice, vous proposer des experts si besoin.

“Si j’avais une heure pour résoudre un problème, je passerais cinquante-cinq minutes à définir le problème et seulement cinq minutes à trouver la solution.” Albert Einstein

Comment puis-je vous aider, quel projet allons-nous travailler ensemble ?

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